"Dans les deux cantates, Karine Deshayes et Alain Buet adoptent, comme Benjamin Lazar, une prononciation à l'ancienne qui jamais n'obscurcit la ligne vocale."
"De l'introduction très déclamée du Berger fidèle à la tempête de Thétis, chanteurs et musiciens trouvent le ton juste et s'adaptent aux humeurs du texte."